
Pablo, les trotskistes et le FLN. Episode 2 : une usine d’armement pour les Algériens au Maroc
Episode 2 de notre série d’été : bien que menacés par les Services français, les trotskistes installent une usine d’armement au Maroc. Pablo est arrêté.
Episode 2 de notre série d’été : bien que menacés par les Services français, les trotskistes installent une usine d’armement au Maroc. Pablo est arrêté.
Dans ce podcast, Mazal aborde les héritages footballistiques de l’Algérie, avec Stanislas Frenkiel, enseignant-chercheur en histoire du sport, et auteur du livre « Le football des immigrés : France-Algérie, l’histoire
La plupart des articles de la presse algérienne à l’occasion de l’anniversaire du Premier novembre 1954 portent sur le rôle des combattants de l’Armée de libération nationale (ALN), dont le
Qui était Larbi Ben M’hidi, vénéré en Algérie et dont l’Élysée vient d’admettre officiellement qu’il fut assassiné par l’armée française en 1957 à Alger ?
Surnommé « Carburateur » en raison de son dynamisme et de son enthousiasme, « Hakim » (le sage) dans la clandestinité, Larbi ben M’hidi est l’un des héros tragiques de l’histoire du FLN. Sa
« Le FLN : mirage et réalité » de Mohammed Harbi est réédité. Dans cet extrait, loin de toute histoire officielle, il revient sur l’insurrection du 1er novembre 1954.
Un ouvrage majeur sur le nationalisme algérien publié en 1981 et épuisé depuis longtemps du grand historien algérien Mohamed Harbi
« Aucune rue ne portera ton nom » : un film de Nadia Salem sur le rôle méconnu des femmes algériennes immigrées dans la lutte pour l’indépendance
Le débat sur Albert Camus ouvert par « Oublier Camus » se poursuit avec cette recension très critique du livre d’Olivier Gloag par Nedjib Sidi Moussa.
Présentation de l’éditeur 11 août 1957 : Mohamed Ouali Siaci est arrêté. Ce jeune Algérien, qui aspirait à l’indépendance de son pays, militait clandestinement au sein du FLN depuis deux
Le 5 juillet 1962 a son histoire. Depuis le 26 juillet 1963, c’est une fête légale, celle de l’Indépendance et du FLN. Le 26 avril 2005, elle est devenue celle de l’Indépendance, mais plus du Parti. La France avait transmis le 3 juillet, après le référendum du 1er juillet, ses compétences à l’Exécutif provisoire issu des Accords d’Evian, mais pas au FLN ni au GPRA. Pourquoi ce choix du 5 juillet ? La colonisation a commencé le 5 juillet 1830 et se serait achevée le 5 juillet 1962. Oublié aussi le 5 juillet 1961 où le GPRA a appelé à une grève nationale contre la partition de l’Algérie. A Alger en 1962 le calme est revenu après l’accord du 17 juin entre l’Exécutif provisoire et l’OAS, mais à Oran, l’OAS locale a continué son terrorisme aveugle. Les soldats français préféraient être soignés à l’infirmerie du FLN à M’dina Jadida, plutôt qu’à l’hôpital civil tenu par l’OAS. Le 27 juin, ses derniers chefs abandonnent la ville et la population européenne. Le 5 juillet, des coups de feu éclatent, des Européens sont enlevés et tués. En Algérie, cet autre 5 juillet est porté disparu.
Mohammed Harbi, acteur de la guerre d’indépendance algérienne et historien, a publié en 1975 aux éditions Christian Bourgois son livre Aux origines du Front de Libération Nationale : la scission du PPA-MTLD. Contribution à l’histoire du populisme révolutionnaire en Algérie, livrant pour la première fois des documents et des analyses qui manquaient cruellement au discours sur l’histoire tenu par le pouvoir algérien. Il avait quitté l’Algérie après avoir été emprisonné à la suite de son opposition au coup d’Etat de Boumédienne de juin 1965. Ce livre, jamais publié en Algérie, a été réédité fin 2020 par Abderrahmane Bouchène avec l’accord de l’auteur, dans une édition revue et augmentée qui a été préparée par l’historienne et chercheuse Ouarda Siari Tengour. Une édition nécessaire que Nadjia Bouzeghrane qualifie dans El Watan de « travail contre l’oubli ».