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Jean-François Collin

Le Conseil d'État a tranché
Jean-François Collin

Jean-François Collin définitivement privé de Légion d’honneur

Le Conseil d’État vient de valider le décret du 2 janvier 2013 par lequel le Président de la République avait exclu Jean-François Collin de l’Ordre de la Légion d’honneur. Ce décret avait fait l’objet d’une demande d’annulation dont le rejet rend définitive l’exclusion du responsable de l’ADIMAD.

Ci-après, précédée d’un bref commentaire de Jean-François Gavoury, la décision de rejet, minutieusement circonstanciée, que le Conseil d’État a prise il y a un mois, le 25 juillet, à la suite du recours engagé par cet ancien criminel de l’OAS contre le décret l’excluant de la Légion d’honneur. On ne peut que se féliciter que le Conseil d’État rappelle une nouvelle fois les valeurs fondamentales de la République.

[Mis en ligne le 24 août 2013, mis à jour le 25]

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Un ancien membre de l’OAS privé définitivement de sa Légion d’honneur

Jean-François Collin, responsable de l’ADIMAD, vient de se voir privé de sa décoration de chevalier de la Légion d’honneur qui lui avait été décernée par un décret du Président de la République en date du 5 mai 2011 – voir cette page.

Plusieurs associations s’étaient indignées de cette nomination et des conditions dans lesquelles elle avait été officiellement remise le 1er novembre 2011, lors d’une cérémonie devant la stèle des fusillés de l’OAS au cimetière Saint-Laurent-Imbert de Marignane.

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Une insulte à la République.
Jean-François Collin

La légion d’honneur à Jean-François Collin : une insulte à toutes les victimes de la guerre d’Algérie

Jean-François Collin, président de l’Association de défense des intérêts moraux des anciens détenus (ADIMAD), composée d’anciens activistes de l’OAS, a été nommé chevalier de la Légion d’Honneur, par un décret du 5 mai 2011.

Plusieurs associations, telles l’ANPNPA (Association des pieds-noirs progressistes et leurs amis) et la 4ACG (Association des anciens appelés en Algérie et leurs amis contre la guerre), s’indignent de cette nomination et des conditions dans lesquelles elle a été officiellement remise le 1er novembre 2011, lors d’une cérémonie devant la stèle des fusillés de l’OAS au cimetière Saint-Laurent-Imbert de Marignane.

On ne peut oublier le terrorisme auxquels se sont livrés il y a une cinquantaine d’années les membres de cette organisation de tenants de l’Algérie française responsables de plus de 2 200 morts.

Les membres de la Commission « Mémoire-Histoire » de la FNACA (Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie), réunis à Paris le 11 octobre 2011, ont déclaré cette distinction insupportable, à quelques mois du 50e anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie. La commission rappelle dans un communiqué que « la complaisance affichée publiquement, par certains représentants de l’État, aux anciens activistes de l’OAS, les hommages rendus à leurs représentants, ne peuvent que choquer profondément les Algériens et les Français qui en ont été victimes. Ces comportements font obstacle à la réconciliation. Ils fragilisent la mise en œuvre de relations [apaisées entre les] deux pays.»

De son côté, Jean-François Gavoury, président de l’ANPROMEVO, interpelle les autorités concernées.

[Mis en ligne le 2 novembre 2011, mis à jour le 8]

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Plaque que l'ADIMAD a l'intention de sceller sur la tombe du colonel Argoud à Darney (photo Vosges Matin)
Jean-François Collin

L’Adimad-OAS à l’honneur

Amnistiés sous de Gaulle, réhabilités sous François Mitterrand, indemnisés sous Jacques Chirac, les anciens activistes de l’OAS vont-ils être honorés sous Nicolas Sarkozy ?

En effet, la fin de la guerre d’Algérie a été suivie de plusieurs lois d’amnistie, une loi de réhabilitation votée en novembre 1982 a rétabli les généraux putschistes dans leurs droits, et l’article 13 de la loi du 23 février 2005 a organisé une indemnisation de certaines des personnes ayant fait l’objet de condamnations ou de sanctions amnistiées.

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Médaille diffusée par l'ADIMAD.
Jean-François Collin

L’Adimad se bat pour “rétablir la vérité sur le juste combat de l’Algérie française”

Pour l’Association amicale pour la Défense des Intérêts Moraux et matériels des Anciens Détenus politiques et exilés de l’Algérie française (Adimad),

  • les tentatives de réhabilitation de l’OAS ressortissent à la défense des «intérêts moraux»,
  • le vote de l’article 13 de la loi du 23 février 2005 est du domaine de la défense des «intérêts matériels».

Ci-dessous une présentation de cette association [sauf précision contraire, les informations proviennent du site internet de l’Adimad].

[Page mise en ligne le 11 juillet 2005, revue et mise à jour le 5 décembre 2007]
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Jean-François Collin

L’OAS au coeur de la République

Quelques événements récents témoignent de la considération croissante accordée par nos gouvernants à certains des plus violents anciens terroristes de l’OAS.

Jusqu’où ? Jusqu’à quand ?

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