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Le témoignage de Bachir Hadjadj

Le témoignage de Bachir Hadjadj

“C’était notre terre” de Mathieu Belezi

«quand je dis que c’était notre terre, je veux dire que nous ne l’avions pas volée, que nous en avions rêvé au temps de nos ancêtres, et que l’État français nous avait permis de concrétiser nos rêves en nous vendant une bouchée de pain six cent cinquante-trois hectares de bonne terre africaine»1

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Le témoignage de Bachir Hadjadj

Bachir Hadjadj à Toulon

Invité par la section de Toulon de la LDH, Bachir Hadjadj sera à la Faculté de Droit de Toulon, jeudi 6 novembre, à 18h30, pour une conférence/débat sur le thème

Au-delà de toute polémique, 150 ans d’histoire d’une famille algérienne

Une affichette de présentation est téléchargeable.

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Le témoignage de Bachir Hadjadj

Le prix Seligmann 2007 attribué à Bachir Hadjadj pour son ouvrage « les voleurs de rêves »

L’intervention prononcée à la Sorbonne par Bachir Hadjadj, mardi 22 janvier 2008, lors de la remise officielle du prix Seligmann 2007 Contre le racisme qui a été attribué à son ouvrage Les voleurs de rêves, édité en 2007 aux Editions Albin Michel avec une préface de Jean Lacouture2.

Vous trouverez par ailleurs sur ce site une présentation de cet ouvrage ainsi que des extraits réunis sous le titre une éducation coloniale (1944-1954).

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1920. Mon père, Brahim, debout, légèrement de coté et son père Saïd assis sur une chaise, personnages magnifiques dans leurs somptueux habits traditionnels.
Le témoignage de Bachir Hadjadj

Une éducation coloniale (1944-1954) – 1. Bachir à l’école

Bachir Hadjadj est né en 1937 en Algérie. Il a grandi dans un petit village de la région de Sétif, au milieu des hauts plateaux du Nord de l’Algérie. Ce village s’appelle aujourd’hui Chelghoum Laïd, mais du temps de la colonisation de l’Algérie par la France, il portait le nom de Châteaudun du Rhumel.

Il nous expose ce qu’a été son éducation à l’époque de la colonisation française, avant le déclenchement de la guerre d’indépendance algérienne.3

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Une éducation coloniale (1944-1954) – 3. Les deux mondes

Après son passage à l’école de Châteaudun du Rhumel, puis au lycée de Constantine, Bachir Hadjadj conclut dans ce dernier extrait de son livre : «Peu à peu, nous n’avons plus eu rien à nous dire ; les dés étaient jetés. Et il me semblait bien qu’avec eux les rêves, s’il en restait encore, pour revivre dans un même monde de “liberté, d’égalité et de fraternité”, s’étaient définitivement envolés.»

Cette page termine l’évocation de son éducation à l’époque de la colonisation française5.

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Le témoignage de Bachir Hadjadj

«les voleurs de rêves» de Bachir Hadjadj

« Ce livre-là, nous étions nombreux à rêver qu’on l’écrive, depuis bientôt un demi-siècle, sitôt qu’a pris fin le sanglant corps à corps franco-algérien,
le 19 mars 1962. Et la voilà enfin, l’autobiographie d’une famille depuis l’époque antérieure à la conquête, à travers trois périodes : la turque, la française, l’algérienne proprement dite, manifestant la continuité profonde d’un peuple, assurée par l’islam au travers des immenses bouleversements provoqués par les guerres et cent trente ans de colonisation impérieuse. L’extraordinaire intérêt du livre de Bachir Hadjadj réside dans la sincérité du ton, dans l’intrépidité du témoignage. » [ Jean Lacouture]

Les voleurs de rêves — 150 ans d’histoire d’une famille algérienne de Bachir Hadjadj, éd. Albin Michel (Avril 2007) – 460 pages, 22 euros.

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