
« L’Affaire Ben Barka. La fin des secrets », par Stephen Smith et Ronen Bergman
Présentation de l’éditeur Le 29 octobre 1965, au coeur de Paris, Mehdi Ben Barka « disparaît ». Tel un fantôme, l’opposant au roi du Maroc – qui devait être reçu

Présentation de l’éditeur Le 29 octobre 1965, au coeur de Paris, Mehdi Ben Barka « disparaît ». Tel un fantôme, l’opposant au roi du Maroc – qui devait être reçu

Présentation de l’éditeur Le 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, le principal opposant au roi du Maroc, Hassan II, a rendez-vous à la brasserie Lipp, à Paris, avec trois personnes

Sur l’enlèvement et le meurtre de Mehdi Ben Barka il y a 60 ans, un colloque sur la responsabilité des Etats marocain et français s’est tenu à l’Assemblée nationale.

Le 29 octobre 2025, pour les soixante ans de l’enlèvement à Paris de Mehdi Ben Barka, a eu lieu un rassemblement boulevard Saint-Germain, devant la brasserie Lipp, sur les lieux

Le 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, militant tiers-mondiste de premier plan et principal opposant au roi Hassan II du Maroc, était enlevé en plein Paris, puis assassiné, dans des

Présentation de l’éditeur Le 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, le principal opposant au roi du Maroc, Hassan II, a rendez-vous à la brasserie Lipp, à Paris, avec trois personnes

Le 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, condamné à mort par contumace dans son pays pour s’être opposé au roi Hassan II, personnalité importante des Etats du Tiers-monde nouvellement indépendants

La mort de la veuve de Ben Barka a été suivie de nombreux hommages et demandes de reconnaissance des complicités du ministre Roger Frey et du préfet Maurice Papon.

Pour les 57 ans de l’enlèvement et de l’assassinat de Mehdi Ben Barka, un rassemblement a eu lieu le 29 octobre 2022 à Paris, boulevard Saint-Germain, sur les lieux où ce crime a été commis à l’initiative du pouvoir marocain et avec d’importantes complicités françaises. Comme notre site l’a expliqué : dans l’enlèvement en plein Paris et l’assassinat de Mehdi Ben Barka, la complicité de Roger Frey et Maurice Papon est lourde. Même si le chef de l’Etat, le général de Gaulle, après avoir, en apprenant les faits, exprimé à la mère de Mehdi Ben Barka sa volonté d’établir la vérité sur ce crime, s’est résolu en janvier 1966 à dire que les complicités françaises n’avaient été que « subalternes ». Cette double implication des Etats marocains et français explique que l’enquête judiciaire toujours en cours ne connaisse aucun progrès.

Le 29 octobre 2021, 56 ans après l’enlèvement à Paris de l’homme politique marocain et leader tiers-mondiste Mehdi Ben Barka suivi de son assassinat, un rassemblement a eu lieu à Paris devant la Brasserie Lipp, boulevard Saint-Germain. Ci-dessous l’allocution prononcée au nom de la famille par Bachir Ben Barka, président de l’Institut Mehdi Ben Barka – Mémoire vivante. Et l’article publié par Mediapart sur les complicités de Frey et de Papon dans ce crime. Des complicités qui expliquent probablement les entraves persistantes que la « raison d’Etat » oppose en France au travail de la Justice, qui est toujours saisie de ce crime mais n’est toujours pas parvenue à accéder aux documents d’archives qu’elle demande.

Le 29 octobre 2019, cinquante-quatre ans après l’enlèvement et la disparition de Mehdi Ben Barka, des rassemblements ont eu lieu à Paris et à Rabat pour demander que les circonstances de sa mort soient enfin élucidées. Au Maroc comme en France, la raison d’Etat continue à faire obstacle à la vérité. Dans un appel publié notamment par Mediapart, des personnalités des deux pays ont demandé aux États d’assumer leurs responsabilités. Sur le lieu de son enlèvement par des policiers français, boulevard Saint-Germain, a eu lieu un rassemblement auquel a participé Ghita Ben Barka, la veuve de Mehdi Ben Barka, au cours duquel Bachir Ben Barka est intervenu au nom de l’Institut Mehdi Ben Barka-Mémoire vivante.

54 ans après, les circonstances de la mort de Mehdi Ben Barka ne sont toujours pas élucidées. Aussi bien du côté marocain que du côté français, l’obstacle principal à l’établissement de toute la lumière reste dans les deux pays la raison d’Etat érigée en principe intangible. En France et au Maroc, des personnalités demandent aux États d’assumer leurs responsabilités afin que la vérité soit enfin établie et appellent à un rassemblement le 29 octobre 2019, sur le lieu de son enlèvement par des policiers français.