
Le film de la rencontre sur « Le Pen, la torture dans la République »
Après la mort de Le Pen, « Le Monde » a publié son aveu répété de faits déjà établis : ses actes de torture commis durant la guerre d’Algérie.
Après la mort de Le Pen, « Le Monde » a publié son aveu répété de faits déjà établis : ses actes de torture commis durant la guerre d’Algérie.
En 2019, Le Pen a à nouveau reconnu avoir torturé à Alger selon « Le Monde ». Le documentariste Philippe Collin a corrigé son podcast mensonger, sans reconnaître son erreur.
Avant de s’engager en Algérie, Le Pen le fit en Indochine, en 1954 et 1955. Un épisode très rarement évoqué et pourtant déterminant.
Avec l’historien Fabrice Riceputi, spécialiste de la guerre d’Algérie et auteur d’un livre récent sur le sujet (publié aux éditions du Passager clandestin), on fait le point dans ce nouvel
L’affirmation selon laquelle « on ne peut pas prouver » que Le Pen a torturé à Alger, dans un podcast de France inter, nie le travail des journalistes et des historiens.
Le Pen : la torture « républicaine » en colonie et le déni Entretien avec Fabrice Riceputi, par Faris Lounis, journaliste indépendant, publié par Le Matin d’Algérie, le 3 mars 2024. Source A
Dans leur podcast Kiffe ta race, qui « saute à pieds joints dans les questions raciales en France », les journalistes et militantes antiraciste Grace Ly et Rokaya Diallo ont reçu l’historien Fabrice Riceputi,
Publié en France par Le passager clandestin en partenariat avec Mediapart en janvier 2024, Le Pen et la torture. Alger 1957, l’histoire contre l’oubli de Fabrice Riceputi est également publié
Au Panthéon, Marine Le Pen s’est permis une provocation en invoquant dans un hommage aux étrangers résistants au nazisme l’action de son père dans les guerres coloniales chez les légionnaires. Des légionnaires étrangement omniprésents dans cette cérémonie. Par Gilles Manceron, Fabrice Riceputi et Alain Ruscio.
Sur le livre « Le Pen et la torture. Alger 1957 » de Fabrice Riceputi, nous publions la présentation de l’éditeur, une émission de Mediapart et un entretien publié dans « L’Humanité ».
Présentation de l’éditeur Décembre 1956, le jeune député poujadiste Jean-Marie Le Pen est à Alger. Engagé volontaire chez les parachutistes pour défendre l’Algérie coloniale contre la « subversion », il participe aux
La France ne pourra assumer son passé colonial que lorsque les crimes commis par des militaires français dans la guerre d’Algérie, comme ceux perpétrés par l’organisation jusqu’au-boutiste de la colonisation qu’a été l’OAS, ne feront plus l’objet de dénis, comme c’est encore trop souvent le cas. On lira ainsi ci-après une tribune sur la tentative de réhabilitation de l’OAS de la part de la municipalité Rassemblement national de Perpignan à travers la figure de Pierre Sergent. Et, à l’inverse, l’hommage justifié rendu le 15 mars 2023 aux six inspecteurs des Centres sociaux assassinés froidement par l’OAS auquel nous nous réjouissons que Benjamin Stora a participé. C’est l’occasion de rappeler que les propos inexacts tenus dans un podcast de France inter concernant la participation de Jean-Marie Le Pen à la torture lors de la « bataille d’Alger » doivent faire l’objet de la part de cette chaîne d’un rectificatif clair.