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Édition du 1er juillet au 15 juillet 2024

Association nationale pour la protection de la mémoire des victimes de l’OAS

L'OAS et ses nostalgiques

Décès de Jean-François Gavoury,
inlassable pourfendeur des nostalgiques de l’OAS

Jean-François Gavoury, le président de l’ANPROMEVO, l’Association nationale pour la protection de la mémoire des victimes de l’OAS, inlassable pourfendeur des nostalgiques de cette organisation terroriste, est décédé le 3 août 2023 à l’âge de 73 ans. Son père, commissaire central d’Alger, avait été assassiné par l’OAS le 31 mai 1961. Ci-dessous, le film de la cérémonie de dévoilement le 6 octobre 2011 de la stèle à toutes les victimes de l’OAS au cimetière du Père-Lachaise à laquelle il est intervenu après le maire de Paris, Bertrand Delanoë. Nous y joignons un rappel de « l’affaire Gavoury », tiré du livre d’Alain Ruscio, « Nostalgérie, l’interminable histoire de l’OAS », ainsi que l’interview qu’il a donné en 2022 au site « Place Audin ».

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Les Européens d'Algérie et leur exode

Le président Macron
a reçu des « pieds-noirs »
rapatriés d’Algérie

Le président Macron a rencontré le 26 janvier 2022 au Palais de l’Élysée des représentants de rapatriés d’Algérie, dans le cadre de ce qu’il a défini comme un « travail d’apaisement de toutes les mémoires blessées de la guerre d’Algérie ». Il est revenu sur la fusillade de la rue d’Isly à Alger, le 26 mars 1962. Ci-dessous son intervention, la réaction du journaliste et historien Pierre Daum sur France 24 et l’article publié par le quotidien La Croix à ce sujet. Ainsi que les communiqués de l’Association des pieds-noirs progressistes et de leurs amis (ANPNPA), de l’Association des amis de Max Marchand, de Mouloud Feraoun et de leurs compagnons et de l’Association nationale pour la protection de la mémoire des victimes de l’OAS (ANPROMEVO).

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La petite Delphine Renard
1962, la fin de la guerre d'Algérie

il y a cinquante ans, le 7 février 1962, un attentat de l’OAS…

Le 7 février 1962,

La petite Delphine Renard
La petite Delphine Renard
dix charges de plastic explosent à la porte du domicile parisien d’hommes politiques, d’intellectuels, de journalistes. Sept blessés.
Parmi les blessés une fillette âgée de quatre ans et demi, Delphine Renard. Elle jouait dans sa chambre quand une charge de plastic destinée à André Malraux, qui habitait le même immeuble de Boulogne-sur-Seine, explose devant ses fenêtres. Delphine est gravement atteinte, elle finira par perdre la vue.

Plusieurs syndicats et partis de gauche appellent à une manifestation à Paris pour le lendemain, 8 février 1962, afin de protester contre cette vague d’attentats de l’OAS. Ce sera Charonne.

Aujourd’hui, Delphine Renard prend la parole pour dire sa révolte devant les «attentats à la vérité [commis] en honorant ceux qui ont eu recours à la barbarie pour tenter de renverser l’ordre démocratique», devant le négationnisme entretenu au plus haut de l’État. Nous reprenons sa tribune, pour l’Association nationale pour la protection de la mémoire des victimes de l’OAS – Anpromevo 1 –, publiée le 7 février sur LeMonde.fr. 2

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Les victimes de l’OAS à Oran en 1962

L’ANPROMEVO – Association nationale pour la protection de la mémoire des victimes de l’OAS3 – a décidé de rappeler ces autres victimes, trop souvent oubliées, de la guerre d’Algérie.

Périodiquement, certains parlementaires s’informent auprès du gouvernement des perspectives concernant la reconnaissance du massacre d’Oran. Il s’agit en l’occurence des victimes des événements du 5 juillet1962.

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