
Guerre du Rif (2) : entre 1921 et 1926, la première guerre chimique contre un peuple
Officiellement interdite, la guerre chimique fut menée dans le Rif insurgé par l’Espagne mais aussi, ce qui est moins connu, par la France. Par Alain Ruscio.
Officiellement interdite, la guerre chimique fut menée dans le Rif insurgé par l’Espagne mais aussi, ce qui est moins connu, par la France. Par Alain Ruscio.
Bonnes feuilles du livre de l’historien Benjamin Badier relatives au soutien du roi du Maroc à la lutte pour l’indépendance algérienne à partir de 1956.
Alain Ruscio rappelle qu’au Maroc colonial, la tentative de séparer les Berbères du reste de la population musulmane donna naissance au mouvement nationaliste.
Le 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, militant tiers-mondiste de premier plan et principal opposant au roi Hassan II du Maroc, était enlevé en plein Paris, puis assassiné, dans des
Aux films, fictions et documentaires qui ont été consacrés au porte-parole du Tiers-monde assassiné en 1965 s’ajoute désormais un roman graphique.
Le colonialisme néolibéral d’Emmanuel Macron par Louis Albert Serrut Le 29 octobre 2024, lors d’un discours devant les députés marocains, Emmanuel Macron a proclamé que « le présent et l’avenir » du
Le soulèvement marocain pour l’indépendance et sa répression par la France coloniale ont jusqu’ici été peu traités au cinéma. On aimerait voir ce film diffusé en France.
Benjamin Badier pointe les libertés prises par Macron avec l’histoire de la colonisation et de la décolonisation du royaume marocain (1912-1956).
Le 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, condamné à mort par contumace dans son pays pour s’être opposé au roi Hassan II, personnalité importante des Etats du Tiers-monde nouvellement indépendants
Sous la direction d’Aurélia Dusserre et Mathieu Marly. Ce dossier revient sur la résurgence et la pluralité des mémoires vives et parfois conflictuelles de la guerre du Rif. En analysant
La mort de la veuve de Ben Barka a été suivie de nombreux hommages et demandes de reconnaissance des complicités du ministre Roger Frey et du préfet Maurice Papon.
Benjamin Badier étudie dans cet article les continuités entre la police chérifienne sous le protectorat et la Direction générale de la sûreté nationale du Maroc indépendant.