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Édition du 15 novembre au 1er décembre 2024

Algérie post 1962

le REMDH condamne le refus des autorités algériennes d’autoriser la marche du 12 février

Le Réseau Euro-méditerranéen des droits de l’Homme condamne le refus des autorités algériennes d’autoriser la tenue d’une manifestation pacifique le 12 février à Alger et appelle les autorités à respecter le droit du peuple algérien de manifester pacifiquement.

Cette autre page présente une liste de manifestations prévues en Algérie et ailleurs, pour le 12 février 2011, suivie de deux appels.

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rassemblements de soutien à la marche d’Alger, samedi 12 février

Un Collectif d’Algériens de soutien à la lutte en Algérie pour le changement et la démocratie s’est créé en France. Il apporte son soutien à la marche nationale pacifique à laquelle appelle la « Coordination nationale pour le changement et la démocratie » qui s’est constituée à Alger le 21 janvier 2011.

Des rassemblements sont organisés, à Paris par le collectif précédent, et à Marseille par le Collectif Solidarité Maghreb, le même jour qu’à Alger, samedi 12 février 2011 :

  • Paris, à 14 heures : place de la République
  • Marseille, à 14h30 : square Léon Blum (haut de la Canebière)
[Mis en ligne le 8 février 2011, mis à jour le 9]

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une marche, le 12 février à Alger, pour demander «le départ du système»

A l’issue de sa deuxième réunion qui s’est tenue vendredi 28 janvier 2011 à la Maison des syndicats de Dar El-Beida (Alger), la Coordination nationale pour le changement et la démocratie, qui regroupe partis politiques, syndicats autonomes et diverses associations de la société civile, a appelé le peuple algérien à participer massivement à la marche pacifique qui se déroulera à Alger le 12 février prochain. Comme l’a déclaré maître Mostefa Bouchachi, président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), la coordination demande «la levée de l’état d’urgence et le changement du système»1.

Répondant au ministre de l’Intérieur, Dahou Ould Kablia, qui a réaffirmé dimanche 30 janvier que « Les marches sont interdites à Alger », la coordination a déclaré que « La manifestation est maintenue », donnant à M. Bouchachi l’occasion de dénoncer les contradictions d’un régime qui refuse les manifestations pacifiques et qui dénonce par la suite «les violentes émeutes qui éclatent à chaque fois dans le pays»2.

Des rassemblements de soutien sont organisés en France le même jour.

[Mis en ligne le 1er février 2011, mis à jour le 7]

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El Watan, 23 janvier 2011
Algérie post 1962

Alger : manifestation pour la démocratie sévèrement réprimée par la police

La manifestation pour la démocratie à l’appel du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD), interdite par les autorités algériennes, a été brutalement empêchée par la police hier dans le centre d’Alger. Saïd Sadi, président du RCD, a fait état de 42 blessés parmi ses partisans ainsi que de nombreuses interpellations.

Ci-dessous l’éditorial d’El Watan de ce jour, suivi du point de la situation publié le 22 janvier à 17h07 sur le site LeMonde.fr, puis d’un commentaire de TSA3.

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Algérie : l’exaspération de la population muselée par les restrictions des libertés

Pour la FIDH, la LADDH et le CFDA, la révolte qui s’est développée exprime avant tout l’exaspération de la population muselée par les restrictions des libertés fondamentales.

Depuis 1988, observe Benjamin Stora, historien et spécialiste du Maghreb, les violences urbaines sont devenues l’un des rares moyens d’expression d’une population poussée à bout4. « Les jeunes sont rongés par un sentiment d’inutilité ».

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Algérie : appel pour la tolérance et le respect des libertés

Cet appel du 17 mars 2008 a été publié le 26 mars dans le quotidien El Watan, accompagné de la liste des premiers signataires : http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=90432.

Pour le signer, contacter l’un des premiers signataires ou envoyer un mail à ">.

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le code de la famille maintient la femme algérienne sous tutelle

Après des mois de négociations, la réforme du code familial de 1984 vient d’être adoptée par le gouvernement. Malgré quelques avancées, elle échoue à établir l’égalité des droits, et le « tuteur matrimonial » demeure nécessaire. Les associations féministes se disent scandalisées.

Un dossier paru dans Le Monde, le 25 février 2005.

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