4 000 articles et documents

Édition du 1er au 15 avril 2025

Algérie : les affrontements des années 1990

cfda.jpg
Algérie : les affrontements des années 1990

SOS-Disparu(e)s : les folles d’Alger

Jean-Paul Mari a publié dans le Nouvel Observateur n° 2086, du 28 octobre 2004, un article consacré à l’Algérie  » […] au lendemain d’une guerre civile d’une violence inouïe qui a fait entre 100 000 et 200 000 victimes « 1.

En voici l’extrait consacré aux militant(e)s de l’association SOS-Disparu(e)s 2.

Lire la suite »
cfda_disparus.gif
Algérie : les affrontements des années 1990

Algérie : la caravane contre l’oubli à Paris le 24, à Marseille le 26, et à Toulon le 27.

La « caravane » du Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie sera à Paris le 24 septembre, à Marseille le 26, et à Toulon le mardi 27 septembre (sans doute l’après-midi).

Contact : Nassera DUTOUR (porte-parole)

Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie (CFDA)

c/o Maison des associations

181 avenue Daumesnil

75 012 Paris.

Tél/fax : 00 (33) 1 43 44 87 82

Pour Toulon : 06 63 76 44 95

Lire la suite »

déclaration commune des organisations de familles de disparus et de victimes du terrorisme en Algérie

Le projet de charte pour la paix et la réconciliation nationale du président Bouteflika suscite leur indignation : l’assurance de l’impunité s’oppose à l’exigence de vérité et de justice.

Voici la déclaration commune que SOMOUD4, ANFD5 et SOS-Disparu(e)s6 ont rendu publique, samedi 20 août 2005, lors d’une conférence de presse tenue à Alger au siège de SOS-Disparu(e)s à Alger.

Lire la suite »

la sale guerre des généraux algériens des années 1990, par Marie-Monique Robin

Dans les années 1970 et 1980, les dictatures militaires du Cône sud de l’Amérique latine ont férocement réprimé leurs opposants, utilisant à une échelle sans précédent les techniques de la « guerre sale » : rafles indiscriminées, torture systématique, exécutions extrajudiciaires et « disparitions », escadrons de la mort… En enquêtant sur le fameux « Plan Condor », Marie-Monique Robin a découvert le rôle majeur joué secrètement par des militaires français dans la formation à ces méthodes de leurs homologues latino-américains (et en particulier argentins). Des méthodes expérimentées en Indochine, puis généralisées au cours de la guerre d’Algérie, pendant laquelle des officiers théoriseront le concept de « guerre révolutionnaire ».

Dès la fin des années 1950, les méthodes de la « Bataille d’Alger » sont enseignées à l’École supérieure de guerre de Paris, puis en Argentine, où s’installe une « mission militaire permanente française » constituée d’anciens d’Algérie.

Vous trouverez ci-dessous la partie du dernier chapitre de l’ouvrage de Marie-Monique Robin
Escadrons de la mort, l’école française 8 qui concerne l’Algérie des années 1990.

Lire la suite »