
Cinq ans d’enquête sur la disparition forcée durant la « bataille d’Alger »
Dernière en date des centaines de victimes de disparition forcée à Alger identifiées par le projet Mille Autres, Baya Slamani, plusieurs fois enlevée et torturée.
Dernière en date des centaines de victimes de disparition forcée à Alger identifiées par le projet Mille Autres, Baya Slamani, plusieurs fois enlevée et torturée.
Les livres de Mathieu Belezi disent la violence du système colonial français, cette main de fer qui tenait jusqu’à l’étouffement la gorge de l’Algérie. La rage antisémite de la fin du XIXe siècle, le racisme déployé à l’occasion des fêtes du centenaire.
Nelly Forget, assistante sociale dans un bidonville d’Alger, fut torturée par l’armée française en 1957.
« Pour ma patrie, pour mon idéal et pour mon peuple, périr n’est qu’un sublime sacrifice auquel je suis résigné… Je saurai mourir. L’Algérie sera libre envers et contre tout. » Abderrahmane
Le 5 avril 1956, La Dépêche Quotidienne, organe de la grosse colonisation, criant à la trahison, ouvre sa « Une » sur une information sensationnelle : « Dans l’après-midi d’hier,
« Aucune rue ne portera ton nom » : un film de Nadia Salem sur le rôle méconnu des femmes algériennes immigrées dans la lutte pour l’indépendance
Camus et l’Algérie au miroir (fidèle ou non ?) des « Carnets » de Jean Grenier.
Mohand Saïd Lechani (1893-1985) fut un enseignant algérien animé par la passion du progrès après la lecture des articles de Jaurès, pionnier des pédagogies nouvelles, défenseur des droits des femmes, engagé à la Ligue des droits de l’Homme, qui a vécu ensuite dans l’Algérie indépendante.
Entre 1961 et 1962 et au-delà, l’OAS a plongé l’Algérie et la France dans un climat de violence et de terreur quasi insurrectionnel. Au-delà des plasticages et attentats qui ont
Par Hanane Guendil. Alger, mars 1962. Des centaines de milliers de civils algériens ont été assassinés durant la guerre d’Algérie. Parmi eux, un grand nombre a été tué par l’OAS,
Le débat sur Albert Camus ouvert par « Oublier Camus » se poursuit avec cette recension très critique du livre d’Olivier Gloag par Nedjib Sidi Moussa.
Par Alain Ruscio. Si les noms de Habib Bourguiba en Tunisie et de Mohammed Ben Youssef — ou Mohammed V — au Maroc sont liés, dans la mémoire collective, à