
Ce que la photographie apporte à l’histoire de la guerre d’Algérie
Renouveler l’histoire de la guerre d’indépendance algérienne à partir de la photographie : c’est le propos de ce livre collectif dont nous publions l’introduction.
Renouveler l’histoire de la guerre d’indépendance algérienne à partir de la photographie : c’est le propos de ce livre collectif dont nous publions l’introduction.
Des colonisés ingouvernables. Adresses d’Algériens aux autorités françaises (Akbou, Paris, 1919-1940) Présentation de l’éditeur Le 6 rue Lecomte abrite, à partir de 1925, le Service des affaires indigènes nord-africaines. Rattaché
Le Pen : la torture « républicaine » en colonie et le déni Entretien avec Fabrice Riceputi, par Faris Lounis, journaliste indépendant, publié par Le Matin d’Algérie, le 3 mars 2024. Source A
Abd el-Kader se rend en décembre 1847 aux chefs militaires français avec la promesse qu’il pourra s’établir au Proche-Orient, mais les autorités de la Deuxième République ne l’ont pas tenue.
Un rassemblement a eu lieu le 11 juin 2024 devant le cénotaphe de Maurice Audin au cimetière parisien du Père-Lachaise à l’initiative de l’AJMA.
Depuis son inauguration en 2019 au cimetière du Père-Lachaise, un rassemblement a lieu le 11 juin, date de son enlèvement par des militaires français en 1957 durant la « bataille d’Alger ».
Dernière en date des centaines de victimes de disparition forcée à Alger identifiées par le projet Mille Autres, Baya Slamani, plusieurs fois enlevée et torturée.
Les livres de Mathieu Belezi disent la violence du système colonial français, cette main de fer qui tenait jusqu’à l’étouffement la gorge de l’Algérie. La rage antisémite de la fin du XIXe siècle, le racisme déployé à l’occasion des fêtes du centenaire.
Nelly Forget, assistante sociale dans un bidonville d’Alger, fut torturée par l’armée française en 1957.
« Pour ma patrie, pour mon idéal et pour mon peuple, périr n’est qu’un sublime sacrifice auquel je suis résigné… Je saurai mourir. L’Algérie sera libre envers et contre tout. » Abderrahmane
Le 5 avril 1956, La Dépêche Quotidienne, organe de la grosse colonisation, criant à la trahison, ouvre sa « Une » sur une information sensationnelle : « Dans l’après-midi d’hier,
« Aucune rue ne portera ton nom » : un film de Nadia Salem sur le rôle méconnu des femmes algériennes immigrées dans la lutte pour l’indépendance