
Dossier : il y a 80 ans, le massacre de Thiaroye
Colloque international de Dakar, mention d’un « massacre » par Emmanuel Macron, projet de commission d’enquête, exigence de vérité, revue de presse et des initiatives pour le 80e anniversaire.

Colloque international de Dakar, mention d’un « massacre » par Emmanuel Macron, projet de commission d’enquête, exigence de vérité, revue de presse et des initiatives pour le 80e anniversaire.
Colloque international Le massacre du camp de Thiaroye en 1944 : enjeux historiographiques, fictions et imaginaires politiques Résumé des communications des membres de l’association Histoire coloniale et postcoloniale Résumé de

Tous les noms des tirailleurs coloniaux de 14-18, nés ailleurs mais morts ici, morts pour ou parfois par la France, doivent être inscrits sur les monuments aux morts ou à proximité.

Présentation de l’éditeur Depuis quarante ans, le Mouvement des forces démocratiques de Casamance argue d’un droit à la séparation avec le Sénégal qui aurait été acquis pendant la colonisation. Réfutée

A l’occasion des 80 ans de ce massacre à Thiaroye, près de Dakar, de tirailleurs africains, une tribune des associations et acteurs de la société civile.

Les 2 et 3 décembre 2024 se tiendra à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Faculté des Lettres et Sciences Humaines, un colloque international interdisciplinaire organisé dans le cadre du

Dans un livre publié le 11 mai 2024 aux éditions sénégalaises Jimsaan, le chercheur Florian Bobin revient sur l’histoire d’Omar Blondin Diop.

Pour la première fois depuis les indépendances, un mouvement susceptible de prendre le pouvoir a assumé la poursuite des efforts de la décolonisation.

Fanny Pigeaud et Ndongo Samba Sylla replacent le coup de force sénégalais dans le contexte du « recul démocratique » observé récemment dans les anciennes colonies françaises et l’éclairent à la lumière des pratiques impérialistes de la Françafrique.

Le 11 mai 1973, le jeune intellectuel et militant révolutionnaire sénégalais Omar Blondin Diop mourrait dans des conditions très suspectes dans la prison de Gorée où il avait été enfermé par le régime de Léopold Sédar Senghor.

Le Sénégalais Lamine Senghor (1889-1927) est, durant les années 1920, le plus important des militants noirs anticolonialistes en France.

L’homme politique et écrivain Léopold Sédar Senghor (1906 – 2001), figure ambivalente de l’histoire coloniale et postcoloniale, est l’objet en 2023 d’une exposition au Musée du Quai Branly (Senghor et les arts. Réinventer l’universel, jusqu’au 19 novembre), ainsi que d’une biographie par Elara Bertho (Senghor, PUF, 2023). La revue Afrique XXI lui a consacré en 2021 une série de deux articles, intitulée Senghor, derrière le mythe. Dans le premier, que nous publions ici, Khadim Ndiaye montre qu’il fut un ardent défenseur du système imaginé à Paris dans les années 1950 pour perpétuer la domination coloniale. Dans le second, à lire sur Afrique XXI, Florian Bobin rappelle qu’il est devenu après 1960 un président autoritaire dont la police pratiquait la torture.