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Édition du 1er au 15 décembre 2024

Victorin Lurel

Extraits des débats à l’Assemblée nationale, le 29 novembre 2005

Alors que la préparation de la loi du 23 février 2005, commencée dès 2003, s’est déroulée dans la plus grande discrétion, les critiques qui lui ont été adressées après sa publication ont été reprises par des députés. Ci-dessous, à l’occasion du débat sur l’abrogation de l’article 4 de cette loi, lors de la séance du 29 novembre 2005, les déclarations de Christiane Taubira et de Victorin Lurel dans leur intégralité et des extraits des déclarations d’autres députés. L’ensemble des débats a été publié sur le site de l’Assemblée nationale.

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Le 29 novembre 2005, l’Assemblée nationale a refusé d’abroger l’article 4 de la loi de février 2005

La majorité de l’Assemblée nationale a refusé le 29 novembre 2005 de supprimer l’article 4 de la loi du 23 février 2005 qui impose la reconnaissance du « rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord ». Le groupe UMP, qui y a une majorité absolue a refusé d’examiner la proposition de loi socialiste visant à l’abroger. La droite ne veut pas « perdre les voix des rapatriés ». Les députés du groupe communiste et républicain, les élus Verts et le groupe UDF ont voté avec les socialistes pour l’examen de cette proposition de loi. Cet épisode témoigne néanmoins de la montée des critiques contre cet article qui fait l’éloge de la colonisation.

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Avant le débat du 29 novembre 2005 sur l’abrogation de l’article 4 de la loi du 23 février 2005

A la veille du débat du 29 novembre 2005 à l’Assemblée nationale sur l’abrogation de l’article 4 de la loi du 23 février 2005, des critiques de cette loi apparaissent dans la presse française et algérienne. Nous publions les propos publiés à Paris par le site internet de la chaîne de télévision France 2, qui parle d’un « tollé » et donne la parole à des personnes qui demandent cette abrogation. Et ceux publiés à Alger par le quotidien La Tribune qui juge que ces questions, dans une France en pleine bourrasque identitaire, sont l’otage de jeux et de calculs politiques.

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