et s’il n’en reste qu’un, Jean-Marie Bockel sera celui-là
Le discours de Nicolas Sarkozy à Dakar sur «l’homme africain» jugé étranger à «l’idée de progrès» continue à être très mal reçu en Afrique.
«Se peut-il qu’il n’ait pas compris à quel point nous nous sommes sentis insultés?», lance l’écrivain sénégalais Boubacar Boris Diop.
«D’un point de vue rigoureusement politique, son discours est une faute. Il ne tardera pas à s’en rendre compte: les Africains et les nègres de la diaspora ne le lui pardonneront jamais», souligne-t-il.
Vous trouverez ci-dessous, à titre de document, l’appui que Jean-Marie Bockel a cru devoir renouveler aux thèses de Nicolas Sarkozy1