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Olivier Pétré-Grenouilleau

Pierre Serna : « L’esclavage était bien un crime contre l’humanité»

L’historien Pierre Serna, professeur à l’université Paris I-Panthéon-Sorbonne et membre de l’Institut d’histoire de la Révolution française, souligne que les députés de la Convention avaient, dès 1794, qualifié la pratique de l’esclavage de « crime de lèse-humanité ». La loi Taubira de 2001 n’a donc fait aucun anachronisme en renouant avec cette qualification, contrairement à ce qu’affirment certains historiens.

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L’affaire Pétré-Grenouilleau

L’historien Olivier Pétré-Grenouilleau a été poursuivi au civil, devant le tribunal de grande instance de Paris, par Patrick Karam, au nom du collectif DOM, qui lui reprochait d’avoir relativisé la nature de l’esclavage dans un entretien publié par le Journal du dimanche du 12 juin 2005 pour contestation de crime contre l’humanité après avoir écrit « Les traites négrières ne sont pas des génocides ». Patrick Karam a finalement retiré sa plainte. Nous reproduisons l’article à ce sujet de Jean-Baptiste de Montvalon dans Le Monde du 4 février 2006 et celui de Didier Arnaud et Hervé Nathan dans Libération du 30 novembre 2005.

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La société française au temps des colonies

Esclavage et traite atlantique

En 2005, après la publication de la loi dite Taubira et celle du 23 février 2005 voulant inciter les enseignants à montrer les « aspects positifs de la colonisation », des polémiques ont éclaté à propos de l’esclavage et de sa qualification. Ci-dessous quelques rappels historiques. Ainsi qu’un article, dans Le Monde du 5 mars 2005, intitulé « Traite négrière : les détournements de l’histoire », publié par Olivier Pétré-Grenouilleau, professeur d’histoire à l’université de Lorient, membre de l’Institut universitaire de France.

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