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Édition du 15 novembre au 1er décembre 2024

Michèle Riot-Sarcey

La société française face à l'héritage de son passé colonial

Rencontre-débat à Paris
le 11 décembre 2021 :
« Les traces du passé colonial
et les débats qu’il suscite »

A l’occasion de son Assemblée générale, l’Association histoire coloniale et postcoloniale qui gère le site histoirecoloniale.net organise une rencontre-débat sur le thème : « Les traces du passé colonial et les débats qu’il suscite. Eurocentrisme tardif, approche intersectionnelle et questions sur l’universalisme », avec Kaoutar Harchi et Michèle Riot-Sarcey, le 11 décembre 2021, au CICP, 21 ter, rue Voltaire, 75011 Paris. Ci-dessous une présentation du thème de ce débat et de ses intervenantes. Ainsi que le lien vers une page de notre site intitulée « L’universalisme a été détourné par l’Europe à l’époque coloniale, faut-il renoncer à s’en réclamer ? », qui reprend le dialogue publié par la revue Regards sur ce sujet entre Norman Ajari et Sophie Wahnich. Nous y ajoutons le lien vers un texte d’Alain Policar, intitulé « L’universalisme face à la question raciale », publié par le site AOC le 10 novembre 2021.

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Mémoire et histoire en Algérie

En Algérie, des révoltées de 1848
aux porteuses de valises,
par Michèle Riot-Sarcey

Lors d’un voyage universitaire en Algérie, l’historienne Michèle Riot-Sarcey a rencontré par hasard l’une des porteuses de valises du FLN, évadée de la prison de la Roquette en 1961. L’occasion de réfléchir aux difficultés des colonisés ou des femmes à laisser une trace dans l’histoire. En Algérie, les effets indélébiles de la colonisation sont toujours à vif et les années de silence ne peuvent être compensées par la reconnaissance tardive et sélective des morts sous la torture. Combien sont-ils encore à attendre ce dévoilement si parcimonieux ?

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Le manifeste du Comité de vigilance face aux usages publics de l’histoire

Quarante-deux historiens ont créé un « Comité de vigilance face aux usages publics de l’histoire ». Dans leur manifeste, adopté le 17 juin 2005, ils dénoncent une « instrumentalisation » du passé qui « prend aujourd’hui des formes inquiétantes » et ils énoncent leurs objectifs. Il est présidé par Gérard Noiriel, avec pour vice-présidents Nicolas Offenstadt, maître de conférence à l’université Paris I et Michèle Riot-Sarcey, professeur à l’université Paris 8. Le CVUH dispose d’un site internet.

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