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Édition du 15 septembre au 1er octobre 2024

Manuel Valls

Rwanda : Valls et le déni

«Je n’accepte pas les accusations injustes et indignes qui pourraient laisser penser que la France ait pu être complice d’un génocide au Rwanda, alors que son honneur, c’est toujours de séparer les belligérants !», c’est ainsi que Manuel Valls s’est exprimé au sujet du Rwanda, lors de la déclaration de politique générale du Gouvernement, à la tribune de l’Assemblée nationale, mardi 8 avril 2014 1.

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En finir avec les contrôles “au faciès”

Des associations fustigent le “reniement du gouvernement”, au lendemain de l’annonce par le Premier ministre de l’abandon du projet de récépissé envisagé pour éviter les contrôles d’identité abusifs.

Dans un communiqué publié le 28 septembre, les associations, qui voyaient dans cette procédure respectueuse des citoyens un moyen de lutter contre le délit de faciès, déplorent que le premier ministre se soit aligné sur la position exprimée par Manuel Valls le 19 septembre.

Selon une étude réalisée en 2009 dans cinq lieux parisiens par l’Open Society Justice Initiative, émanation de la Fondation Soros, un Noir ou un Arabe ont respectivement 6 et 7,8 fois plus de chances d’être contrôlés qu’un Blanc. Plus récemment, l’ONG Human Rights Watch avait épinglé la France à propos de ces contrôles.

Documents téléchargeables :

[Mis en ligne le 29 septembre 2012, mis à jour le 6 octobre]

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Contrôle d’identité à Paris - Photo Jean-Michel Sicot
Contrôle au faciès

Délit de faciès : Manuel Valls refuse une mesure “bureaucratique”

Une nouvelle provocation de Manuel Valls : alors que Jean-Marc Ayrault réaffirmait, mercredi 19 septembre sur RTL, la volonté présidentielle de mettre fin aux contrôles d’identité “au faciès”, le ministre de l’intérieur chargé de mettre en place cette politique a annoncé dans Libération qu’il abandonnait l’idée d’un récépissé remis par les fonctionnaires de police après chaque contrôle d’identité.
Le ministre a estimé la mesure «beaucoup trop bureaucratique et lourde à gérer» et a évoqué des «difficultés juridiques».

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