Les essais nucléaires français du Sahara continuent à faire des victimes
Du 7 novembre 1961 au 16 février 1966, treize tirs souterrains, dont quatre n’ont pas été totalement confinés, furent effectués à In Eker – également orthographié In Ecker ou In Ekker – dans le Sud-algérien, laissant le site pollué pour plusieurs dizaines de milliers d’années.
Les autorités françaises et algériennes ont-elles oublié les populations locales ? D’un côté, les responsables algériens semblent s’en désintéresser, d’autre part, les détails de la loi Morin la rendent quasiment inapplicable en Algérie.