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Édition du 15 novembre au 1er décembre 2024

Henri Guaino

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Discours de Dakar 2007

Henri Guaino veut faire entrer le discours de Dakar dans l’histoire

Le conseiller spécial du président de la République revient dans une tribune du journal Le Monde sur le discours toujours très controversé prononcé à Dakar par Nicolas Sarkozy, en juillet 2007. La “plume du président” se défend de toute vision raciste de l’Afrique — il avait aimablement traité de «petit con prétentieux» BHL qui avait affirmé «Guaino, il est raciste» — mais il n’hésite pas à répéter, avec l’assurance qu’on lui connaît, que «l’homme africain n’est pas assez entré dans l’histoire».

Achille Mbembe, professeur d’histoire et de science politique à Johannesburg, avec « L’Afrique de Nicolas Sarkozy », et Ibrahima Thioub, professeur d’histoire à l’Université de Dakar, avec sa « lettre à Nicolas Sarkozy », ont répondu en leur temps à cette vision “frivole et exotique” de l’Afrique. Ci-dessous, avant la reprise de la tribune d’Henri Guaino, un commentaire de David Servenay qui remarque que l’appréciation du rôle de la France dans le génocide rwandais ne semble pas avoir été affectée par le changement de président de la République.

[Mise en ligne le 28 juillet 2008, complétée le 30 juillet]
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Discours de Dakar 2007

Henri Guaino aime le discours de Dakar

Dans un entretien publié le 20 octobre 2007 par le quotidien Libération, dont nous reprenons un extrait ci-dessous, Henri Guaino revient sur le discours prononcé par Nicolas Sarkozy à Dakar. Après avoir longuement évoqué son incompréhension du refus de nombreux enseignants d’obéir à l’injonction qui leur est faite de lire à leurs élèves la lettre de Guy Môquet conformément à l’instruction officielle du 30 août dernier, Henri Guaino montre qu’il ne comprend pas plus la vague de critiques soulevée par un texte dont il est l’auteur

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Discours de Dakar 2007

les amabilités d’Henri Guaino à ceux qui n’apprécient pas son discours de Dakar

Les propos de Fadela Amara qualifiant de « dégueulasse » l’instrumentalisation de l’immigration et donc les tests ADN ont provoqué l’indignation de Patrick Devedjian : « ce n’est pas bien d’injurier les députés de la majorité». Le député des Hauts de Seine, secrétaire général de l’UMP, a-t-il oublié que lui-même, peu après les législatives, avait qualifié Anne-Marie Comparini de « salope » ?

Fadela Amara évoquait un projet de loi, et n’injuriait pas des hommes, comme cela semble se pratiquer sans complexe au sommet de l’Etat : “petit con”, “connard”, “crétin”, “salaud”…

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