La Mairie de Paris a débaptisé solennellement l’« avenue Bugeaud »
Le nom de Thomas Robert Bugeaud, lié aux massacres des civils lors de la conquête de l’Algérie ne mérite pas de figurer dans l’espace parisien.
Le nom de Thomas Robert Bugeaud, lié aux massacres des civils lors de la conquête de l’Algérie ne mérite pas de figurer dans l’espace parisien.
1958. Ce long monologue éclaté dessine les contours d’une Algérie en ébullition, d’hommes et femmes confrontés à la violence du système colonial et tentent de s’en défaire.
Un ouvrage majeur sur le nationalisme algérien publié en 1981 et épuisé depuis longtemps du grand historien algérien Mohamed Harbi
Traduit de l’anglais par Houria Delourme-Bentayeb. Editions du Croquant, 30 €. Neil MacMaster est historien. Docteur à l’université de Cambridge depuis 1972, il enseigne, au début de sa carrière, l’histoire
Dans « La première guerre d’Algérie », Alain Ruscio fait l’histoire des deux décennies (1830-1852) au cours desquelles l’Algérie fut conquise malgré la résistance acharnée des Algériens. Nous en publions la conclusion.
Renouveler l’histoire de la guerre d’indépendance algérienne à partir de la photographie : c’est le propos de ce livre collectif dont nous publions l’introduction.
Des colonisés ingouvernables. Adresses d’Algériens aux autorités françaises (Akbou, Paris, 1919-1940) Présentation de l’éditeur Le 6 rue Lecomte abrite, à partir de 1925, le Service des affaires indigènes nord-africaines. Rattaché
Sous la direction d’Aurélia Dusserre et Mathieu Marly. Ce dossier revient sur la résurgence et la pluralité des mémoires vives et parfois conflictuelles de la guerre du Rif. En analysant
par Alain Ruscio Ce 23 août, Madeleine Riffaud – mais elle est, elle reste, pour des milliers de ses amis, Madeleine, tout simplement – a 100 ans. Elle n’a jamais
Le Pen : la torture « républicaine » en colonie et le déni Entretien avec Fabrice Riceputi, par Faris Lounis, journaliste indépendant, publié par Le Matin d’Algérie, le 3 mars 2024. Source A
Abd el-Kader se rend en décembre 1847 aux chefs militaires français avec la promesse qu’il pourra s’établir au Proche-Orient, mais les autorités de la Deuxième République ne l’ont pas tenue.
La mort de la veuve de Ben Barka a été suivie de nombreux hommages et demandes de reconnaissance des complicités du ministre Roger Frey et du préfet Maurice Papon.