Assassinat de Larbi Ben M’hidi : la version officielle reconnue comme mensongère par l’Elysée
Qui était Larbi Ben M’hidi, vénéré en Algérie et dont l’Élysée vient d’admettre officiellement qu’il fut assassiné par l’armée française en 1957 à Alger ?
Qui était Larbi Ben M’hidi, vénéré en Algérie et dont l’Élysée vient d’admettre officiellement qu’il fut assassiné par l’armée française en 1957 à Alger ?
Surnommé « Carburateur » en raison de son dynamisme et de son enthousiasme, « Hakim » (le sage) dans la clandestinité, Larbi ben M’hidi est l’un des héros tragiques de l’histoire du FLN. Sa
La pratique de la torture ne peut être imputée à une minorité de combattants français. L’Etat français a dysfonctionné, il doit s’interroger sur le fait d’avoir autorisé la pratique systématique de la torture durant la guerre d’Algérie.
La lutte armée a joué un rôle essentiel dans l’issue de la guerre, mais il ne faut pas oublier l’action diplomatique et le rôle de l’immigration.
« Le FLN : mirage et réalité » de Mohammed Harbi est réédité. Dans cet extrait, loin de toute histoire officielle, il revient sur l’insurrection du 1er novembre 1954.
1958. Ce long monologue éclaté dessine les contours d’une Algérie en ébullition, d’hommes et femmes confrontés à la violence du système colonial et tentent de s’en défaire.
Un ouvrage majeur sur le nationalisme algérien publié en 1981 et épuisé depuis longtemps du grand historien algérien Mohamed Harbi
Renouveler l’histoire de la guerre d’indépendance algérienne à partir de la photographie : c’est le propos de ce livre collectif dont nous publions l’introduction.
Le Pen : la torture « républicaine » en colonie et le déni Entretien avec Fabrice Riceputi, par Faris Lounis, journaliste indépendant, publié par Le Matin d’Algérie, le 3 mars 2024. Source A
Depuis son inauguration en 2019 au cimetière du Père-Lachaise, un rassemblement a lieu le 11 juin, date de son enlèvement par des militaires français en 1957 durant la « bataille d’Alger ».
Dernière en date des centaines de victimes de disparition forcée à Alger identifiées par le projet Mille Autres, Baya Slamani, plusieurs fois enlevée et torturée.
Nelly Forget, assistante sociale dans un bidonville d’Alger, fut torturée par l’armée française en 1957.