Assassinat de Larbi Ben M’hidi : la version officielle reconnue comme mensongère par l’Elysée
Qui était Larbi Ben M’hidi, vénéré en Algérie et dont l’Élysée vient d’admettre officiellement qu’il fut assassiné par l’armée française en 1957 à Alger ?
Qui était Larbi Ben M’hidi, vénéré en Algérie et dont l’Élysée vient d’admettre officiellement qu’il fut assassiné par l’armée française en 1957 à Alger ?
Surnommé « Carburateur » en raison de son dynamisme et de son enthousiasme, « Hakim » (le sage) dans la clandestinité, Larbi ben M’hidi est l’un des héros tragiques de l’histoire du FLN. Sa
Zina Saïdi, doctorante franco-algérienne, travaille sur les ouvriers algériens dans le Nord-est (1919-1962) au CERHiC (Université Reims Champagne-Ardenne). Elle publie « D’ici et là-bas », son carnet de recherches en ligne, qu’elle
La pratique de la torture ne peut être imputée à une minorité de combattants français. L’Etat français a dysfonctionné, il doit s’interroger sur le fait d’avoir autorisé la pratique systématique de la torture durant la guerre d’Algérie.
La lutte armée a joué un rôle essentiel dans l’issue de la guerre, mais il ne faut pas oublier l’action diplomatique et le rôle de l’immigration.
« Le FLN : mirage et réalité » de Mohammed Harbi est réédité. Dans cet extrait, loin de toute histoire officielle, il revient sur l’insurrection du 1er novembre 1954.
L’émission de Xavier Mauduit sur France Culture a, à l’occasion du 70e anniversaire de l’insurrection indépendantiste en Algérie, programmé une série en 4 épisodes intitulée « Algérie en résistance, une histoire
Dans son podcast « Paroles d’histoire », André Loez reçoit l’historien Emmanuel Blanchard, auteur de Des colonisés ingouvernables. Adresses d’Algériens aux autorités coloniales (Akbou, Paris, 1919-1940), Paris, Presses de Sciences Po, 2024,
L’Association des anciens appelés en Algérie et leurs ami.e.s contre la guerre (4ACG), amie de l’Association Histoire coloniale et postcoloniale, a lancé un appel intitulé « Militants, que voyez-vous dans la nuit ? » que nous
Le nom de Thomas Robert Bugeaud, lié aux massacres des civils lors de la conquête de l’Algérie ne mérite pas de figurer dans l’espace parisien.
1958. Ce long monologue éclaté dessine les contours d’une Algérie en ébullition, d’hommes et femmes confrontés à la violence du système colonial et tentent de s’en défaire.
Un ouvrage majeur sur le nationalisme algérien publié en 1981 et épuisé depuis longtemps du grand historien algérien Mohamed Harbi