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Édition du 15 novembre au 1er décembre 2024

Le rôle des historiens

Pierre Vidal-Naquet
Le rôle des historiens

«Pierre Vidal-Naquet, un historien dans la cité» : journée d’hommage

Programme de la journée d’hommage à la Bibliothèque nationale de France, le 10 novembre 2006

La mort de Pierre Vidal-Naquet, le 29 juillet 2006, laisse un grand vide. Pour lui rendre hommage et témoigner de l’importance de ses engagements comme de celle de son œuvre d’historien, ses amis organisent une journée de témoignages, le vendredi 10 novembre (de 9 h 30 à 19 h 30) au grand auditorium de la Bibliothèque nationale de France, entrée Est (entrée libre).

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Le rôle des historiens

Pierre Vidal-Naquet, «historien militant», est décédé

L’historien Pierre Vidal-Naquet est décédé dans la nuit de vendredi 28 à samedi 29 juillet 2006, à l’âge de 76 ans. Il était dans le coma depuis lundi à la suite d’une hémorragie cérébrale.

Ce « grand savant de la Grèce antique » était « l’archétype de l’intellectuel dreyfusard », a déclaré François Gèze, l’un de ses éditeurs. Toute sa vie, il a lutté contre la raison d’Etat et la tyrannie – l’une de ses dernières actions aura été d’apporter sa signature à la pétition 1410.

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colonialistes/anticolonialistes, ou quand le mort saisit le vif

par Raphaëlle Branche, Claude Liauzu, Gilbert Meynier et Sylvie Thénault
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Ces quatre historiens ont adressé au journal Le Monde le texte que vous trouverez ci-dessous, que nous a adressé Claude Liauzu.

Faute de place, ce texte étant trop long pour pouvoir être publié intégralement, Le Monde a fait paraître, le 20 septembre 2005, dans sa page « Horizons, débats », un texte un peu abrégé : 876.

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Madeleine Rebérioux, historienne de parole et d’acte

L’historienne et présidente d’honneur de la Ligue des droits de l’homme, Madeleine Rebérioux est morte chez elle, à Paris, boulevard Arago, lundi 7 février. Depuis près d’un an, elle souffrait d’une grave maladie qui l’empêchait de plus en plus d’être ce qu’elle avait toujours été, une femme savante et publique, « de parole et d’acte », pour répéter le titre d’un petit ouvrage qu’elle avait consacré en 1994 à Jaurès, inlassable objet d’étude et synthèse entre ses trois vies, d’enseignement, d’engagement et de recherche.

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