des sanctions pour en finir avec l’impunité d’Israël
Une pétition adressée à : M François Hollande, Président de la République et au gouvernement français.
Une pétition adressée à : M François Hollande, Président de la République et au gouvernement français.
Un ancien militaire israélien qui a participé à l’opération “Bordure protectrice” cet été sur la bande de Gaza dénonce les crimes de guerre de l’armée israélienne ainsi que l’omerta entourant les actions de l’armée.
Des réservistes d’une unité du renseignement israélien dénoncent dans une lettre ouverte leur mission dans les Territoires. Selon les 43 refuzniks, leur rôle va au-delà du contre-terrorisme et ne fait que prolonger l’occupation militaire des Territoires palestiniens. Ils dénoncent l’abus de la collecte d’information sur une population qui n’a pas la possibilité de se défendre par voie légale.
Nurit Peled-Elhanan, prix Sakharov 20011
s’est adressée au Parlement Européen, le 11 septembre 2014
(Sous-commission des Droits de l’Homme. Session spéciale sur les enfants de Gaza).
L’organisation de défense des droits de l’homme Human Rights Watch (HRW) enquête sur trois bombardements des forces israéliennes qui ont ciblé des écoles, alors que les lois de la guerre interdisent les attaques qui prennent délibérément pour cible des civils ou des biens à caractère civil. « L’armée israélienne a mené des attaques contre trois écoles clairement identifiables – ou à proximité de celles-ci – tout en sachant que des centaines de personnes y avaient cherché refuge, tuant ou blessant de nombreux civils » a déclaré Fred Abrahams, conseiller spécial auprès de HRW.
Le CICR — Comité international de la Croix-Rouge — , créé en 1863, œuvre dans le monde entier pour fournir une assistance humanitaire aux personnes frappées par un conflit ou une situation de violence armée et faire connaître les règles qui protègent les victimes de la guerre.
On peut se demander, avec Sylvain Thévoz, conseiller municipal de la ville de Genève, si la participation du CICR, aux côtés de l’INSS (The Institute for National Security Studies), «l’une des institutions militaires les plus influentes en Israël, à une conférence au titre pour le moins cynique sur « les défis de la guerre dans des zones densément peuplées »», est bien conforme à son mandat. Nous reprenons en bas de cette page la lettre ouverte de Sylvain Thévoz au directeur du CICR demandant au CICR de renoncer à sponsoriser cette conférence.
Un nouveau rassemblement s’est déroulé à Toulon — le sixième depuis le 20 juillet dernier 2. Différentes organisations 3 ont décidé d’appeler à un rassemblement le 23 août à 17h, place de la Liberté à Toulon, afin d’exprimer notre colère devant la poursuite de la guerre de Gaza.
Ci-dessous, le communiqué de la LDH de Toulon qui appelait au rassemblement, suivi du compte-rendu de la manifestation publié dans le quotidien Var-Matin.
Faire de la musique ensemble pour apprendre à se connaitre et à dépasser les peurs et les conflits du Moyen Orient, c’est le projet auquel Daniel Barenboim et Edward Said ont donné corps en créant en 1999 le West-eastern divan Orchestra, composé de Palestiniens, d’Israéliens, d’Egyptiens, Jordaniens, Turcs, Libanais, Syriens, Iraniens… un défi qui dure depuis 15 ans.
Michel Tubiana président d’honneur de la Ligue des droits de l’Homme, demande à la communauté internationale de prendre enfin les mesures nécessaires pour qu’Israël respecte le droit international.
C’est ce que le président de l’AFPS — Association France Palestine Solidarité — attend du prochain Conseil de l’Union Européenne du 30 août, ainsi qu’il l’a écrit dans la lettre qu’il a adressée à François Hollande.
La reprise des frappes aériennes israéliennes et des tirs de roquettes en provenance de Gaza souligne l’importance de permettre aux organisations de défense des droits de l’Homme de pénétrer dans le territoire de Gaza.
Depuis le début de l’opération militaire israélienne à Gaza le 8 juillet 2014, les autorités israéliennes ont rejeté plusieurs requêtes d’Amnesty International qui demandait de pouvoir se rendre à Gaza par le poste-frontière d’Erez, contrôlé par Israël. L’organisation a également demandé aux autorités égyptiennes de la laisser accéder à Gaza, sans succès pour l’instant.
Ci-dessous, le communiqué commun diffusé par Amnesty International et Human Rights Watch demandant aux autorités israéliennes de permettre immédiatement aux organisations de défense des droits de l’Homme de se rendre à Gaza.
Un nouvel appel à ce que des sanctions soient enfin prises par la communauté internationale contre l’Etat d’Israël. 4
Alors que la trêve a de nouveau été rompue entre Israël et la bande de Gaza, l’historien israélien Shlomo Sand revient sur les racines du conflit et estime qu’« à défaut d’une solution équitable, les images de milliers de femmes, d’enfants, et de vieillards, descendants des réfugiés de 1948, errant parmi les maisons en ruine à l’été 2014 continueront de nourrir la haine, pour longtemps ». 5
Il ne fait pas bon militer pour la paix en Israël. La plupart des opposants à la guerre à Gaza sont harcelés, intimidés, et même licenciés.
La tentative de rayer B’Tselem de la liste des organisations habilitées à accueillir les jeunes Israéliens souhaitant effectuer un “service civil” remplaçant leur passage de trois ans — deux pour les filles — dans l’armée, illustre la dérive de la société israélienne.