
Histoires crépues : Mai 1967, un massacre oublié en Guadeloupe
Que s’est-il passé les 26 et 27 mai 1967 en Guadeloupe ? Ces dates sont quasiment inconnue en France métropolitaine. On se souvient seulement des révoltes étudiantes de mai 68.
Que s’est-il passé les 26 et 27 mai 1967 en Guadeloupe ? Ces dates sont quasiment inconnue en France métropolitaine. On se souvient seulement des révoltes étudiantes de mai 68.
par Corinne Toka-Devilliers, fondatrice de l’association guyanaise Moliko Alet + Po et descendante de Moliko, l’une des femmes kali’na exhibée dans le cadre de « zoos humains » à la fin du
« Considérant que la situation haïtienne ne peut plus être considérée sous le seul angle de l’urgence humanitaire, parfois teinté de misérabilisme, et que la solidarité internationale ne saurait faire figure de réparation «
Vial d’Alais définit l’esclavage comme une « barbarie » à laquelle il ajoute « l’ignominie » caractérisant trois de ses marqueurs : le fouet, le travail forcé le plus éprouvant et le commerce des êtres humains.
Et si la Guadeloupe avait arraché son indépendance plus de cent ans avant l’abolition de l’esclavage de 1848, lors d’une révolte discrète, étouffée dans les bois, mais qui aurait pu
En 1825, Haïti, premier pays issu d’une révolte d’esclaves, a été contraint de payer une indemnité immense à la France pour obtenir la reconnaissance de son indépendance. Pourquoi Haïti a-t-il
La rançon infligée par la France en 1825 a grevé le développement d’Haïti. Depuis deux siècles, de la part de la France, ni reconnaissance, ni aucune forme de réparation. Il serait temps que cela cesse.
Présentation de l’éditeur Par une ordonnance du roi Charles X du 17 avril 1825, la France reconnaît l’indépendance de sa colonie de Saint-Domingue. Cette reconnaissance est soumise au paiement, par
Dans un immeuble anonyme de Paris, Pierre-Yves Bocquet a consulté les archives de la Caisse des Dépôts et Consignations. Les découvertes qu’il y a faites sont consternantes.
Pour le bicentenaire de l’ordonnance du roi Charles X imposant une rançon à Haïti, une Note de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage expose les faits.
Chlordécone : l’État reconnu responsable, mais l’indemnisation des victimes reste limitée Par Sabrina Solar (avec agences de presse). Publié par Madinin’art, critiques culturelles de la Martinique le 11 mars 2025.
En mars 2000, le président de la République, Jacques Chirac, a déclaré : « Haïti n’a pas été, à proprement parler, une colonie française ». Ignorance ou amnésie ? Le propos en dit