
Paris, Hôtel de Ville : rencontre-débat le 19 mars « pour la reconnaissance de la responsabilité de l’Etat dans le recours à la torture en Algérie »
La pratique de la torture ne peut être imputée à une minorité de combattants français. L’Etat français a dysfonctionné, il doit s’interroger sur le fait d’avoir autorisé la pratique systématique de la torture durant la guerre d’Algérie.