A Saint-Denis (93)
JOUR DU DECLENCHEMENT DE LA LUTTE DE LIBERATION EN 1954
AU CINEMA L’ECRAN
Place du Caquet
93200 Saint-Denis
www.lecranstdenis.org
14h30. Accueil.
• Projection du film Les Harkis de Philippe Faucon.
• Projection du film documentaire Chroniques de la guerre. Rahim Rezigat (53 mn)
• Table ronde échange sur le thème : Comment transmettre et enseigner l’histoire du passé colonial aux jeunes générations d’aujourd’hui, notamment en milieu scolaire ?
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Salle de la Légion d’honneur, 6 rue de la Légion d’honneur
93200-Saint-Denis
Association Yalla et mairie de Saint-Denis
Spectacle de théâtrede la Compagnie NO MAD
de Mehdi Slimani
Entrée libre
A La Plaine-Saint-Denis (93)
93210 – La Plaine-Saint-Denis
Jeudi 20 octobre à partir de 19h
Afrique 50 de René Vautier
et Un voyage vers la réconciliation de l’APCV
avec Rahim Rezigat et Akram Belkaïd
A Epinay-sur-Seine (93)
A Nanterre (92)
Lettre du Maire de Nanterre aux associations
En inscrivant officiellement cette date dans l’agenda municipal, notre ville, terre d’accueil et d’engagement citoyen, ne veut pas oublier. Connaissant votre attachement à cette partie de l’Histoire de France, j’espère vous retrouver le lundi 17 octobre, à 18h00, devant la plaque située place des Droits de l’Homme, en face de la préfecture, avenue Joliot-Curie.
Patrick Jarry, Maire de Nanterre.
A Aubervilliers (93) et à Nanterre (92)
Rassemblement sur la passerelle de la Fraternité
côté parc Eli Lotari
Aubervilliers
A Bobigny (93)
Samedi 15 octobre à 17h
Lectures de textes
« Dans la gueule du loup » de Kateb Yacine
par l’écrivain Mohamed Kacimi
Tél 01 41 60 72 60
A Villetaneuse (93)
Spectacle théâtral « Hakima je me souviens… »
Au soir du 19 octobre s’est tenu le spectacle théâtral « Hakima je me souviens… » de M’Hamed KAKI, adapté par Mouss ZOUHEYRI et avec la voix off de Anissa KAKI à l’auditorium de la médiathèque Annie Ernaux. M’hamed KAKI, comédien, dramaturge, président et fondateur de l’Association Les Oranges et du théâtre éponyme, présente sa nouvelle création faisant suite à « 17 octobre 1961, je me souviens ». Une création dédiée cette fois, à la mémoire de l’indépendance de l’Algérie. M’hamed KAKI aime à raconter les histoires passées sous silence. Et comme à son habitude, le drame se mélange au rire, pour faciliter la transmission aux nouvelles générations d’une histoire occultée. Ce spectacle fait suite à la cérémonie en souvenir des victimes du massacre du 17 octobre 1961 qui s’est tenue place des Partages de Villetaneuse le lundi 17 octobre 2022.
Voir les images sur le site de la mairie de Villetaneuse
A Saint-Ouen (93)
Mairie Saint-OuenStèle du souvenir aux victimes du 17 octobre 1961
quai de Seine,
angle rue Albert-Dhalenne
Inauguration de la première stèle numérique comportant un QR Code permettant de découvrir en ligne cet événement.
Place Nelson Mandela
A Stains (93)
Cérémonie de commémoration du 17 octobre 1961
Parc Robinson à Asnières-sur-Seine
EXPOSITION
PARIS-OCTOBRE 61- ON NOIE LES ALGERIENS
Place Aimé Cesaire
A Noisy-le-Sec (93)
A Trappes (78)
A Thiais, Choisy et Orly (94)
La section Choisy-Orly-Thiais de la LDH s’associe à l’appel de l’ACAFA – association choisyenne d’amitié franco-algérienne – pour commémorer la manifestation pacifique des Algériens à Paris le 17 octobre 1961 qui dénonçait un couvre-feu généralisé et qui subit une terrible répression par la police parisienne aux ordres de Papon… quelques mois avant que l’Algérie devienne indépendante.
CHOISY
RENDEZ-VOUS
lundi 17 octobre 2022
Square du 17 octobre à 11 h
(angle de la rue Camille Desmoulins
et de l’avenue Villeneuve-St-Georges)
Le 17 octobre 1961, des dizaines de milliers d’Algériens manifestaient pacifiquement à Paris contre le couvre-feu discriminatoire qui leur avait été imposé par le gouvernement de l’époque dont le Premier ministre, Michel Debré, était hostile à l’indépendance de l’Algérie, et le préfet de Police Maurice Papon sous ses ordres. Ils défendaient leur droit à l’égalité, leur droit à l’indépendance et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ce jour-là, et les jours qui suivirent, des milliers de ces manifestants furent arrêtés, emprisonnés, torturés – notamment par la « force de police auxiliaire » – ou, pour nombre d’entre eux, refoulés en Algérie. Des centaines perdirent la vie, victimes d’une violence et d’une brutalité extrêmes des forces de police parisiennes.