Une campagne a été lancée par les deux personnes concernées afin d’obtenir un soutien massif. Cette campagne exige de la LDH qu’elle ne se constitue pas partie civile lors du procès et prétend que c’est toute l’action de BDS qui serait visée.
La LDH a estimé, dans un premier temps, qu’il était préférable de conserver à cette affaire son caractère local dans la mesure où elle ne concerne que le comportement de deux personnes et en aucune manière la campagne BDS.
La violence des propos, la virulence des attaques contre les personnes et la falsification des faits sont devenues d’une telle ampleur qu’il est nécessaire de mettre sur la place publique les faits, afin que chacune et chacun puisse en tirer les conséquences politiques.
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02.10.2015